Le coach n’est pas un couteau suisse !

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Dans cet article, je souligne l’importance d’être au clair sur les personnes que l’on a envie d’accompagner et les sujets sur lesquels on veut intervenir. Cela pose la question de la « juste » place, celle où on se sent aguerri, puissant, énergisé !, pour ne pas aller là où on saurait faire mais au prix de gros efforts avec en bout de course un risque de perte de sens et d’estime de soi ! Définir ses domaines de prédilection, c’est accepter de ne pas intervenir sur tous les sujets, renoncer au fantasme du couteau suisse. C’est aussi se ménager les conditions du confort et de la longévité ! 

M’associer m’a permis de mettre plus de liberté dans le choix de mes coachés. En échangeant quotidiennement avec mes associés, j’identifie mieux là où j’ai naturellement de bons réflexes ; à l’inverse, les situations où je pourrais encore vivre de l’inconfort ou de l’ennui. Par ailleurs, au sein du cabinet, nous nous appuyons sur un réseau de partenaires avec lesquels nous entretenons des liens privilégiés. Cela m’offre l’opportunité d’orienter le futur coaché vers l’un de mes associés ou une autre personne de confiance.

Identifier les personnalités et les problématiques pour lesquelles je me sens compétente me rappelle mes motivations à faire ce métier, d’y trouver du sens, et d’inspirer confiance à mes partenaires RH.  

Pour aller plus loin, lire l’article.

Ecrit par Emmanuelle Weber, Associée fondateur. « Au sein du cabinet In Movere Associés spécialisé dans le coaching de crise, j’accompagne en profondeur les cadres dirigeants sur mes 3 domaines de prédilection : le développement professionnel de la personne, l’optimisation des relations interpersonnelles et la régulation des émotions yc dans les contextes de burn-out, harcèlement et transition de vie. »